Plongée au cœur de Lamartine
par Guy FOSSAT
Présentation du site
Ce site est pour moi-même une belle surprise, car il m’a été offert par un proche. Lamartine en constitue la porte d’entrée. Dans sa vie, sa pensée et son action, on trouve un dédale, avec ses … surprises. Parcourrez-donc ses Visions, dont Henri Guillemin est le ’’restaurateur’’, ou bien La Chute d’un Ange ou, encore Le Cours familier de littérature. Inattendu, non? Que vous soyez ignorant, ou saturé par les références à ce personnage, c’est le dialogue avec vous, à son sujet qui m’importe en premier. En second lieu dans ce but, je porterai à votre connaissance quelques textes de communications, articles ou livres que j’ai pu produire à propos de Lamartine ou que des ami-e-s m’ont permis de publier.
Enfin, je joindrai, outre ces fichiers strictement lamartiniens, quelques autres qui me motivent sur divers sujets. Voir dans Mes publications.
Merci pour l’intérêt que vous portez à ce site en évolution, et à bientôt. Voir Fiche de contact.
Guy FOSSAT
Lamartine en bref
Alphonse de Lamartine est né à Mâcon (Saône-et-Loire) en octobre 1790. Il passe son enfance à Milly, un village près de Mâcon, et fait ses études à Belley chez les Jésuites. En 1811 il est envoyé en Italie par ses parents en espérant le sortir de l’oisiveté. Aventures amoureuses. Il découvre Florence, Rome et Naples, autant de facettes d’une Italie, loin d’être unifiée, mais qu’il considèrera comme une seconde patrie. Sa vocation littéraire s’affirme sous la Restauration. À cette époque, il rencontre Julie Charles ; hélas, elle meurt à Paris, deux ans après leur rencontre sur les bords du lac du Bourget, à Aix-en-Savoie. Elle devient l’Elvire du célèbre poème Le Lac ; ses Méditations poétiques le rendent célèbre en 1820. En cette même année Il épouse Mary-Ann Birch, dont il francise le prénom en ‘’Marianne’’. Ils donneront naissance à deux enfants, Julie et Alphonse. Sa carrière diplomatique et politique : d’abord nommé attaché d’ambassade à Naples en mars 1820. Académie française en 1829 ; Lamartine est élu député, en 1833 à Bergues (Nord). Effectue en famille et avec des amis un long voyage en Orient. Premier discours à la chambre en janvier 1834. Député de Mâcon en 1837. Conseiller général de Saône-et-Loire et même conseiller municipal de Mâcon. Avec l’instauration de la République, en 1848, il devient chef du gouvernement provisoire et ministre des Affaires étrangères. Il est battu aux élections présidentielles et démissionne de tous ses mandats au lendemain du 2 décembre 1851, coup d’Etat de Napoléon III. Parallèlement à cette carrière politique, il continue d’écrire, abondamment, et en de multiples directions. Il meurt ruiné en février 1869.
Buste de Lamartine par le Comte d’Orsay
Maison natale de Lamartine, détruite aujourd’hui, rue des Ursulines à Mâcon
Hôtel de la famille des Lamartine, son grand-père, ses parents, ses oncles et tantes
Château de Saint-Point, son cadeau de mariage, aujourd’hui en pleine rénovation
Maison de jeunesse à Milly, son actuel propriétaire au centre M. Sornay
Lors de ses voyages en Orient, il séjourna dans cette maison de Hammana au Liban
Député depuis 1833, il proclama la République en 1848, puis prit du recul, mais écrivit encore pendant vingt ans
Dix livres repères sur Lamartine
- sa vie et son milieu : son épouse, les souvenirs de son secrétaire
- le poète : Méditations poétiques
- l’homme politique : Trois mois au pouvoir en 1848 ; ses discours réunis par Ulbach, œuvre oratoire
- le voyageur : Voyage Orient, édition syrienne ; souvenirs de son compagnon le Dr Delaroïère.
